NETTALI.COM - Pour rester sur le communiqué de la task force républicaine, soulignons que ses membres considèrent que "les Sénégalais et la communauté internationale doivent savoir qu’Ousmane Sonko et le Pastef, avec leurs procédés inspirés du nazisme, de l’extrémisme religieux et du grand banditisme international, seront mis hors d’état de nuire, parce que notre pays n’est pas un laboratoire d’expérimentation des nouvelles formes populistes de déstabilisation. En vérité, ceux qui demandent clairement de s’attaquer à des citoyens et à leurs biens avec des indications claires de géolocalisation des cibles sont, au regard du Statut de Rome sur la Cour pénale internationale (CPI) les véritables délinquants qui seront traduits en justice".
Elle demande, "sans délai, la dissolution du parti Pastef et le dépôt de plaintes à l’échelle nationale et internationale contre tous les conspirateurs qui tentent vainement de déstabiliser le Sénégal, pays qui, déjà, est dans la cour des grands du pétrole et du gaz".
Jeudi, l’avocat franco-espagnol, Juan Branco, a fait face à la presse et annoncé une plainte à la CPI contre le Sénégal. Hier, les membres du parti au pouvoir ont réagi. La TFR a tenu à lui rappeler "que la colonisation est révolue’’.
Elle attend du gouvernement qu’il le traduise lui et son client Ousmane Sonko, au niveau des juridictions nationales et internationales pour leur forte implication dans les actes terroristes qui ont porté atteinte à la sûreté de l’État du Sénégal.